Comme il en a l’art, le spécialiste de la médecine ortho-moléculaire nous plonge une fois encore dans les arcanes de la médecine profonde, originelle, naturelle, avec ses effets bénéfiques et durables sur la santé de l’Homme. Des révélations à n’en point finir.
Dr Hopson, c’est quoi cette « Médecine du Futur » que vous voulez promouvoir et dont vous dites que les africains gagneraient à s’en approprier pour leur bien-être physique, moral et mental ?
La médecine du futur est une médecine ancienne qui a été longtemps utilisée en Afrique et plus spécifiquement dans l’Egypte antique, à la seule différence qu’elle va être réactualisée pour en faire une médecine du futur. Vous savez que l’occident est venu nous imposer sa médecine. Durant les 70 dernières années, on nous a fait croire que nous étions condamnés par nos gênes. On nous a fait dire que nous tombions malade par notre héritage génétique. On disait par exemple que si dans une famille il y a eu des diabétiques, il y a de forte chance qu’il y ait de nouveaux diabétiques dans cette même famille ; que si votre papa ou votre maman était hypertendue, il y a de fortes chances que vous soyez vous-même hypertendu, et que ceux qui ont le cancer avaient une prédisposition génétique. Cette conception est fausse de nos jours. Nous avons découvert durant les dix dernières années après le déca-septennat que les gênes n’ont que 10 pour cent d’effet sur notre santé. Il nous reste donc beaucoup de possibilités au-delà des gênes ; ce qui nous amène à une autre manière de voir la médecine. En tout cas mon sentiment c’est qu’on n’a pas encore fait la mise à jour de la formation de nos médecins, pour leur dire que contrairement à ce qui a été enseigné durant les 70 années où on nous faisait croire que tout était contrôlé par les gênes, il y a lieu de reconnaitre que l’environnement de l’Homme joue un rôle prépondérant. C’est cela la médecine de demain, c'est-à-dire une médecine qui va au-delà des gênes. C’est ce que j’ai nommé « l’épi-génétique ». Epi-génétique parce que cette médecine va bien au-delà des gênes. Plusieurs maladies de nos jours sont épi-génétiques. Voilà ma conception.
Dr Hopson, quelle a été votre réaction lorsque vous vous êtes rendu compte que votre produit n’a pas été retenu parmi ceux homologués par les autorités de la santé publique pour le traitement du corona virus ? Vous avez pourtant été l’un des pionniers dans la trouvaille des protocoles de traitement contre le Covid-19.
J’ai reçu une simple lettre de félicitations du ministre de la santé publique au moment où ces produits ont été homologués. J’étais au moins content que pour une grande première l’on peut reconnaitre que la médecine naturelle africaine puisse soigner, content que l’on ait accordé une reconnaissance à des solutions endogènes. Cependant, si l’on scrute les personnages qui ont ainsi été honorées, à l’exception de Monseigneur Kleda, tous les autres étaient de illustres inconnus. Ces personnes n’ont rien fait pour la première vague, alors que nous étions là dès le début de la pandémie dans notre pays. Le Docteur Eloge lui-même a avoué que c’est au mois d’août 2020 qu’il rencontre le ministre de la santé publique Manaouda Malachie. Et ce qui est surprenant c’est que celui-ci lui a aussitôt donné un cahier de charges qui devait l’aider à homologuer son produit. Nous autres n’avons pas reçu de cahier de charges. J’ai d’ailleurs fais deux fois le voyage à Yaoundé pour rencontrer les membres conseil scientifique sans pouvoir y arriver. Personne n’a pu m’aider à les localiser. On m’a tourné en bourrique au Ministère de la santé publique. Alors je me suis rendu compte que l’information a été un privilège pour le Docteur Eloge. Ces personnes ont été comme des opportunistes qui sont venus récolter ce que les pionniers ont semé. Au moins, ça a été un début de reconnaissance pour notre médecine. Cependant ces produits homologués demeurent des adjuvants au traitement de le Covid-19, et donc ils viennent en appui aux produits reconnus par la médecine moderne, alors qu’au Bénin le produit d’un phytothérapeute a été reconnu comme apte au traitement à part entière. La même chose s’est fait au Burkina Faso. Alpigrine a été accepté aux USA comme un phyto-médicament. Quelque soit le cas, nous avançons parce que ce n’est pas le Covid-19 qui nous a révélé au monde. Avant le Covid-19 nous avons adressé plusieurs pandémies. Quand il y avait Ebola ici je n’ai vu personne.
Dr Hopson, après avoir parlé de ce qui constitue l’actualité, on va revenir aux fondamentaux de la santé : pourquoi tombe-t-on malade ?
C’est important de poser une telle question, parce que j’ai commencé à parler de la médecine du futur à la suite de la perte d’un Etre cher. C’est un compatriote qui avait beaucoup d’argent, mais qui est mort à l’âge de 67 ans. Le Covid-19 a été responsable en partie de sa mort parce qu’il avait par ailleurs le cancer du sang. Tous les médicaments qu’il a pris ne l’ont pas guéri. Alors je me suis dit, c’était une mort prématurée parce que cette maladie aurait pu être traitée différemment. Je me suis donné la mission de sensibiliser les gens sur ce qu’est la médecine. Beaucoup de personnes pensent que lorsqu’ on a beaucoup d’argent, on a de grandes chances de vivre longtemps parce qu’on a à son chevet de grands médecins, on a les meilleurs médicaments du monde et on a la meilleure santé, ce qui est une erreur parce que même en Europe, ceux qui ont accès à l’information même dans les grands Laboratoires, ne croient plus en cette médecine occidentale telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui. D’où la nécessité de mettre à jour notre médecine. Nous devons recourir à notre choix thérapeute qui est capable d’éliminer même les maladies les plus dangereuses. Pourquoi tombe-t-on malade ? Il y a deux causes en amont et une cause en aval. On tombe malade parce qu’on a un déficit nutritionnel ; ce qui veut dire qu’on n’a pas suffisamment de nutriments pour que le corps puisse se protéger ; on tombe aussi malade parce qu’on a trop de déchets ou les toxines dans le corps. Voilà les deux raisons qui sont en amont. En aval, on n’a qu’une seule cause des maladies : c’est l’environnement, le stress, entre autres. Tout d’abord le stress cause aussi bien le diabète, le cancer, l’hypertension. Le stress fragilise aussi le système immunitaire ; dans ces cas un petit pathogène peut vous emporter. Le stress modifie la fréquence vibratoire du corps, rend celui-ci fragile et la maladie peut s’installer.
Parmi toutes les maladies, existe-t-il celles qui sont dites incurables ?
Il n’existe aucune maladie incurable. Même dans le cas des maladies génétiques, il y a des gens qui ont eu des pathologies prénatales qu’on a pu réguler. Le gène est un peu comme le plan dans la construction d’une maison, cependant nous avons que le plan est modulable, il est modifiable en fonction d’un certain nombre de facteurs ; ça peut le coût, ça peut la durée, l’emplacement ou la volonté même du propriétaire. Et donc le plan n’est pas figé, il peut être modifié. C’est de la même manière que fonctionne les gènes. Aujourd’hui on arrive à démontrer que ce n’est pas le gêne qui contrôle la situation, il y a mieux que cela. Aujourd’hui on prend en compte d’autres facteurs tels que l’environnement, le stress et les émotions, voire même la croyance.
Quel est donc le rôle que jouent les éléments tels que la pensée et l’esprit dans la santé de l’Homme ?
Ces deux éléments que vous venez de citer jouent un rôle primordial. D’ailleurs Einstein disait que tout est énergie ; et que l’énergie c’est la vibration ; et la vibration est liée à une fréquence. Et donc tout ce que l’on fait ; tout ce qui nous arrive sur le plan de la santé, est lié à notre taux vibratoire. Dans les hôpitaux, c’est l’encéphalogramme qui mesure les taux vibratoires. Pour le battement du cœur il y a également un appareil qui lit le niveau de battement du cœur. Quand on n’est pas encore mort, ça continue de bouger. Quand on est dans le sommeil, cette fréquence de battement du cœur est entre 1.5 et 4. On est presque mort mais on n’est pas mort. A ce moment on n’est pas conscient de notre corps physique. Alors on tombe malade parce que notre taux de fréquence vibratoire est au plus bas niveau. Ce qui fait que nous devons constamment nourrir notre pensée et notre esprit avec d’autres facteurs. Quand on a les mauvaises pensées, les mauvaises émotions telle que la haine, la jalousie, la colère, la vengeance, la dépression, tout cela joue négativement sur notre pensée. A l’Eglise on enseigne par exemple que c’est l’amour qui soigne, et que c’est l’amour qui est la clé de tout. L’amour crée un taux vibratoire qui élève l’esprit et les âmes. On a vu des malades qui avaient un cancer du cerveau et on a déclaré qu’il n’y avait rien à faire. Mais à travers un conditionnement de près d’une semaine, la tumeur a disparu d’elle-même, parce que la maladie est au-delà du corps. L’Afrique a intérêt à comprendre que cette médecine est la médecine du futur. Les gens ne doivent plus mourir prématurément et pour rien. On doit commencer à pratiquer cette médecine qui ne guérit pas seulement les symptômes, mais soigne le mal en profondeur. Pour tout dire, le stress et l’environnement sont à l’origine de 95% des maladies.
Dr Hopson, existe-t-il alors les médicaments pour la pensée et l’esprit ?
Les médicaments pour la pensée et l’esprit existent bel et bien et sont variés : et au-delà des médicaments réparateurs tels que les vitamines il y a des astuces : ce sont autres les exercices physiques tels que le sport, l’écoute de la musique, la méditation, la relaxation, la respiration en profondeur pour réguler le stress. Et maintenant si vous ave une alimentation saine, cela régule également le stress. Nous avons également les plantes qui permettent d’élever le niveau de fréquence vibratoire du corps et réguler le stress. Il y a plein de solutions qu’on peut utiliser et qui n’ont aucun effet secondaire sur la santé.
De façon générale, qu’est ce qui crée le cancer dans le corps de l’Homme ?
Le cancer vient d’un dysfonctionnement des cellules du corps. Si vous avez une vie qui n’est pas harmonieuse, le cancer peut se manifester. Ça peut prendre 10 ou 20 ans pour apparaitre. Mais la tumeur n’est pas le cancer en lui-même. La tumeur n’est qu’une manifestation du cancer. La tumeur est perçue comme le cancer dans la médecine occidentale mais il n’est pas le cancer. La tumeur n’est que la conséquence du cancer qui s’est développé de façon invisible dans les cellules du corps. A l’hôpital on peut opérer la tumeur ou même faire la radiothérapie, mais le mal reste en profondeur et peut réapparaitre, d’où l’importance de la médecine ortho-moléculaire qui consiste à soigner à l’aide des médicaments qui régénèrent les cellules du corps.
Quels sont vos projets pour les patients en ce moment au sein des Laboratoires Dr Charles Hospon ?
Merci pour la question : je suis entrain de créer des centres de tourisme médical dont le but sera de faire venir les gens qui ont des cas désespérés. Les visiteurs dans ces centres de tourisme médical seront conditionnés non seulement par l’environnement, mais également par ce qu’ils vont prendre comme traitement pendant leur séjour. Ce séjour peut prendre une semaine ou deux voire trois semaines suivant la gravité des cas. Ces centres accueilleront les personnes qui ont les cas compliqués tels que le cancer du cerveau, le cancer du poumon, le cancer du foie et d’autres maladies compliquées que l’on croit généralement difficile à guérir. Nous les conditionneront et nous trouverons solutions à leur cas, notamment avec la médecine des croyances, ce que j’ai nommé l’épi génétique, avec la psycho-neuro-immunologie. Nous avons un centre à New-Bell, et l’autre est en vue Edéa. Nous allons les combiner avec d’autres projets tels que l’agro-industrie. Les patients qui le souhaitent pourront y prendre des retraites durant lesquels ils seront isolés du reste du monde tout en menant une vie touristique agréable. Il y a des gens qui ont besoin de séparer de leur vie habituelle pour recouvrer leur santé.
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